Cézanne faisait semblant de mépriser les affronts et de ne pas se soucier de ses juges (dont la plupart sont à présent presqu'oubliés) qu'il injuriait d'ailleurs dans les termes les plus violents, mais en réalité il ressentait profondément son isolement. Il s'enterra à Aix où, en dépit de la fortune relative héritée de son père, il vécut dans la saleté la moins digne — rien ne lui importait hormis sa peinture.