Si, traduisant les poèmes du Soleil d’Alexandre, j’avais l’impression de partager un monde avec mes lecteurs, un monde dont j’avais connaissance depuis mon adolescence, avec Ombres de Chine, qui est son versant opposé et complémentaire, j’avais le sentiment d’apprendre en découvrant, grâce à, et non à cause de, mon ignorance.