On ne choisit pas, ni le sexe, ni l'âge, ni… l'état médical, notamment un éventuel sida ou une hépatite B. Une effroyable perspective à l'époque lorsqu'on l'associait à « son enfant », même si les trithérapies existaient déjà. Cependant, on ne savait pas trop quelle longévité elles permettraient, ni si elles étaient vraiment compatibles chez le très jeune enfant. Quoi qu'il en soit, c'était à prendre ou à laisser.