Grandir, c’est parvenir à faire le deuil de cette avarice injuste. C’est mener l’enfant qui pleure encore parfois vers une acceptation : le non-amour ne se transmute pas en précieux métal. Il restera ce qu’il fut toujours : terne, stérile, blessant. Espérer le contraire est un leurre dévastateur.