"C'est grâce à ces chœurs que sa mémoire retint les traits de tant d'hommes disparus. Avec son oreille de professionnel, bien que malmenée par l'artillerie, il se rappelait leurs voix ( ... ), et ces sonorités faisaient renaître un regard, un sourire. Ces vies emportées par la guerre survivaient dans le chant." p. 171