« Une femme si intensément destinée au bonheur (ne serait-ce qu’à un bonheur purement physique, oui, à un bien-être charnel) et qui choisit, on dirait avec insouciance, la solitude, la fidélité envers un absent, le refus d’aimer… »
J’ai écrit cette phrase à ce moment singulier où la connaissance de l’autre (de cette femme-là, de Véra) nous semble acquise.