Andy Hartnell

Avant tout, il me semble important de vous dire de ne surtout pas vous fier à la couverture de cet album !



Je la trouve franchement laide, avec ce portrait approximatif et faussement flatteur de l'acteur Bruce Campbell, et ces créatures verdâtres-bleuâtres au second plan.



C'est LE mauvais choix de couverture, qui risque de décourager le chaland !



Ceci, n'est que mon avis, mais je tenais à la dire.

Enfin bref....



Army of Darkness "Ashes 2 Ashes" (les anglophones apprécieront le subtil jeu de mots), se présente comme la suite possible du film éponyme, troisième opus de la franchise EVIL DEAD.



Oui, nous sommes en plein référentiel, mais les fans de films "d'horreur"(bon sang, que je n'aime pas ce terme fourre-tout et racoleur !) connaissent ce film, mêlant action, fantastique et burlesque.



Nous retrouvons les protagonistes que nous avions laissés à la fin du film, le vieux magicien s'invite à notre époque et Ash qui avait repris sa petite vie doit de nouveau reprendre les armes contre les Deadites...



Le dessin semi-réaliste de Nick Bradshaw est réussi, le découpage dynamique, parfois même un peu foutraque, mais nous ne sommes pas hors-sujet, les couleurs servent bien l'ensemble, le scénario de Andy Hartnell constitue une continuité jubilatoire et cohérente au film.



Comme c'est généralement le cas avec les albums de comics, le livre se conclue sur quelques illustrations et croquis préparatoires de la publication originale, et des photos du film.



Un album très sympathique, mais je le répète : Ne le jugez pas à sa couverture !

Abbey Chase, la Danger Girl spécialisée dans l'archéologie, est faite prisonnière lors d'une chasse au trésor par un usurpateur de titre, un prince belliqueux qui veut que pour son compte, elle retrouve une couronne antique qui pourrait compromettre la légitimité du trône de son ravisseur. Ses deux collègues, les jolies sœurs Savage sont toutes deux prises dans leur propre aventure, l'une à Londres et l'autre au Congo mais vont tout tenter pour échapper à leurs poursuivants pour porter secours à leur amie. ...



Les héroïnes sont toujours aussi canons et téméraires. C'est dans un festival de voyages, d'explosions, de combats que les trois naïades trouvent leur bonheur et gratifie le nôtre. Nous sommes toujours entre l'espionnage et l'aventure genre Indiana Jones. Teinté de chick-lit, même au plus fort de la bagarre, le graphisme est magnifique quoiqu'un peu chargé dans les moments forts de l'action. Les mecs sont toujours soit méchants, soit idiots mais l'idiotie n'est t'elle pas une des mères de la méchanceté ? Ca bouge dans tous les sens, pas de place pour l'ennui malgré un scénario qui ne coupe pas les cheveux en quatre. C'est vite lu, juste pour y prendre un peu de plaisir. Bref, toujours léger mais j'y trouve mon compte.

Cette bande dessinée est un collectif et une compilations d’historiettes. Le livre est enrichi d’’illustrations et de projets de couverture. Les graphismes et les scénarios ne sont pas égaux. Certains font « flop », d’autres décollent. Dans l’ensemble, le résultat reste positif, les filles sont jolies et toujours dans l’action. Nous nous retrouvons avec un cocktail de James Bond, d’OSS 117, de drôles de dames. Personnellement, j’ai préféré le dernier épisode, à la sauce manga. Dans l’ensemble, c’est plutôt une réussite, c’est souvent drôle et les hommes sont plutôt idiots et les filles brillantes.

Un bouclier antique a été volé à une tribu indienne qui croit, par ce qu'il est dédié à une déesse du soleil, que c'est grâce à ce symbole religieux qu'elle fait de bonnes récoltes. Mais depuis que le trésor a disparu, le brouillard a envahi la vallée et les indiens sont au bord de la famine. Les Danger Girl sont contactée pour retrouver le précieux bouclier et le rendre à ses propriétaires. ...



De jolies filles aventurières qui ne reculent devant aucun danger, une équipe soudée, nous avons là tous les ingrédients pour une histoire d'espionnage légère. Nous retrouvons l'esprit de James Bond mélangé à celui de drôles de dames. Le graphisme est beau, les femmes sexys et jolies. L'action est rapide, rythmée. Le scénario est jalonné d'humour. Bref, c'est léger mais j'y ai pris du plaisir.

Ce recueil contient les 7 épisodes de la minisérie "Danger Girl", ainsi que le numéro preview et l'ensemble des couvertures et posters promotionnels, parues de 1997 à 2001.



Abbey Chase est une sorte d'Indiana Jones au féminin, spécialisée dans la récupération d'objets à forte valeur historique ou archéologique. Elle est recrutée de manière spectaculaire par un ancien agent secret (un sosie de 007 à la retraite) pour intégrer un groupe composé de Natalia Kassle (ex-agent secret russe, spécialiste en lancer de couteaux), Sidney Savage (spécialiste du maniement du fouet) et Silicon Valerie (jeunette experte en technologie informatique). Dès l'épisode 2, le groupe est complété par Johnny Barracuda, agent secret très séduisant et très séducteur. Ensemble, ils vont devoir se lancer à la recherche d'un bouclier, d'un casque et d'une épée légendaires et convoités par des rescapés du troisième Reich qui souhaitent réveiller les ardeurs guerrière de la race aryenne en créant un supersoldat armé de ces objets de pouvoir.



Dès le texte d'introduction, J. Scott Campbell explique très clairement que son objectif était de créer un comics d'aventure aussi rythmé et enchanteur que les meilleurs épisodes d'Indiana Jones et James Bond (beaucoup de clins d'oeil aux épisodes interprétés par Roger Moore, quelques uns à ceux interprétés par Sean Connery) sur la base d'une équipe essentiellement féminine rappelant beaucoup les Drôles de Dames (Charlie's Angels dans la version originale). Tous les poncifs des récits d'aventure sont présents : course en hors-bord, course poursuite voiture et hélicoptère, chutes d'eau, alligators, passage obligatoire à une terrasse de café à Paris, course poursuite en ski et motoneige, nazis de pacotille, traître, savant fou, etc., sans oublier des jeunes femmes très sportives et très sexy.



Coté scénario, Andy Hartnell a très bien mis en musique les desideratas de Campbell : il n'y a pas de temps mort, les péripéties succèdent aux cascades qui succèdent aux moments de bravoure et aux évocations de paysages exotiques, dans un tourbillon incessant.



Ce qui permet à ce tome d'accéder à la catégorie supérieure à celle de simple divertissement, ce sont les illustrations qui transforment cette enfilade de séquences d'actions en un enchantement visuel. J. Scott Campbell venait d'achever la minisérie initiale de Gen13 (Gen 13) quand il entame ce projet personnel. Il est évident qu'il a mis beaucoup d'énergie et de temps dans ses illustrations. Chaque page présente un niveau de qualité et d'énergie similaire à une illustration de couverture. Le souci du détail transparaît dans chaque case, il n'y a rien à jeter. Ces demoiselles sont magnifiques, même si certaines de leurs proportions défient les lois anatomiques. Chaque scène d'action place le lecteur au coeur du mouvement. Les effets spéciaux du metteur en couleurs rehaussent également les dessins pour leur donner plus de relief et de vie.



Bien sûr, on peut relever quelques détails déconcertants : Agent Zero garde son masque même dans les moments les plus calmes (réminiscence inutile des superhéros), Abbey Chase semble avoir besoin d'un tirebouchon pour ouvrir une bouteille de champagne (???) et la psychologie des personnages reste très superficielle.



Mais ces rares éléments ne suffisent pas à gâcher le vrai plaisir de lecture que constituent ces péripéties pleines de dangers et de jolies donzelles dans des pages magnifiques.

J’aime beaucoup découvrir la face cachée des super héros, et surtout des super héroïnes (que l’on connaît beaucoup moins). Et Graph Zepellin est un des rares éditeur à avoir la merveilleuse idée de les mettre en valeur… Je profite d’ailleurs de ce billet pour les remercier de leurs envois. Je ne suis pas toujours pareillement séduite par le résultat mais j’avais adoré par exemple América. Cet opus est bien fait aussi, les dessins sont beaux et le récit est fluide. Abbey Chase est le personnage central de la série Danger Girl. A l’heure où s’ouvrent les pages de cet album, la jeune fille n’est encore qu’une enfant, qui ne peut plus voir son père pour des raisons mystérieuses, sait déjà bien se défendre physiquement, et perd brutalement le soutien de l’ami qui avait pris le relais pour prendre soin d’elle. Le récit nous propulse quelques années plus tard, alors que le trio des Danger Girl n’existe plus. Un des membres a disparu et l’équipe s’est dispersée… Abbey s’est engagée dans une quête plus personnelle : retrouver son père et comprendre le mystère qui a accompagné sa jeunesse… Sa quête entraîne le lecteur autour du monde, un voyage assorti de nombreuses péripéties et bagarres. Je trouve l’idée intéressante de proposer aux jeunes filles des super héroïnes vers lesquelles se tourner, mais pas que. Un personnage telle que Superwoman peut par exemple plaire à tous, garçons et filles. Mon fils a par exemple beaucoup aimé la version film, qui a eu beaucoup de succès, et les prouesses de la super héroïne n’étaient absolument pas efféminées, contrairement peut-être à la série. Ici, ce qui est toujours intéressant est donc le rôle central de l’héroïne, ses difficultés de jeunesse qui expliquent sa détermination et souvent sa force, et comment elle réussit à s’en sortir dans un monde d’hommes. A la fin, comme dans chaque album, et ce qui est habituel dans l’univers des comics (la couverture n’est pas forcément du même dessinateur), le lecteur peut admirer les différentes versions proposées (dont celle qui a été choisie pour la couverture) dans un chapitre intitulé « galerie ». Vous êtes sans doute étonnés de mon attrait pour ce genre. Je pense qu’il provient de l’engouement de mon fils dans l’enfance pour les super héros, de ses essais de dessins quotidiens et de la super exposition sur ce thème vue en 2017 à Angoulême (La Marvel French Touch) qui était très chouette et marquante.
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Trahisons, combats et explosions, mâtinées d’une touche de mysticisme, vont émailler cet album encore une fois haut en couleurs !
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Lors d'une mission Abbey Chase libère le pouvoir du livre des morts.

Ce livre est très prisé car certains veulent s'en servir pour créer une armée de zombies.

Au même moment Ash est victime d'hallucinations et voit des morts-vivants partout.

Pourtant c'est lui qu'Abbey va devoir retrouver pour mettre fin à la malédiction.



Une fois de plus les obstacles se mettront en travers de la route de l'équipe Danger Girl...



Cet épisode est découpé en chapitres écrits à la façon d'une série. Un nouveau personnage apparaît à chaque fin de chapitre et est le perso principal du suivant. Puis au dernier chapitre tous sont réunis pour la grande bataille finale face au méchant de ce tome.



Dans cet épisode Ash n'est autre que le héros connu dans les films Evil Dead: une référence du film de zombies.

Ce tome est toujours aussi explosif et plein d'action que les précédents !
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Les amateurs apprécieront de revoir le héros Ash Williams dans cette nouvelle lutte contre les forces du Mal. Mais du coup, la bande dessinée s'appelle Danger Girl. Et pourtant, les pauvres héroines sont mises au second plan avec la présence charismatique du plus grand pourfendeur de zombis, Ash !
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Depuis que Deuce a disparu et que le groupe des Danger Girl a été dissous, Abbey Chase a repris sa vie de chasseuse de trésors. Du moins, c’est ce qu’elle annonce dans un premier temps, car officieusement, elle est surtout à la recherche d’indices pour retrouver son père disparu.



Dans ce nouvel album de Danger Girl, on en découvre plus sur le passé de notre blonde qui n’a pas froid aux yeux. Depuis que son père l’a laissé plus d’une dizaine d’années auparavant, Abbey a du grandir et son intelligence lui a permis en partie de survivre et de développer de nombreux talents. Si au début, des personnes étaient chargées de la protéger, Abbey s’est retrouvée vite seule.



Elle est passée de pré-adolescente qui n’a pas sa langue dans sa poche, à jeune femme indépendante qui ne peut compter que sur elle-même. Abbey est dans une fuite permanente et elle court depuis toujours, car elle représente un levier contre son père.



Ici, Abbey a formé un nouveau groupe de chasseurs de trésors. Leur but est bien sûr de se faire de l’argent en trouvant des reliques, mais notre héroïne a bien entendu une autre idée derrière la tête. Cependant, l’aventure s’arrête lorsqu’ils se font prendre par l’U.S. Navy qui va vouloir l’utiliser pour ses propres intérêts.



Si dans un premier temps le volume semble relativement indépendant par rapport aux précédents, on se rend vite compte que ce n’est pas le cas. Abbey est dans le viseur à cause de son passé de Danger Girl, tout le monde connaît ses compétences et veut en profiter.



Tout comme les précédents volumes, les pages se tournent toutes seules. Ici, le style graphique est de la patte de Stephen Molnar. Ce dernier offre des traits plus arrondis aux différents visages, mais de belles expressions. Le rythme donné est plaisant et encore ici, on n’échappe pas aux explosions ainsi qu’aux scènes d’actions pleines de pirouettes de la série.



Danger girl : Renégate est principalement un volume de transition. Il est plutôt court et permet de remettre certains éléments en jeu, mais il n’empêche qu’il est toujours très agréable de retrouver Abbey et sa grande confiance en elle.
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Danger Girl Renégate est un nouvel épisode du comics de Andy Hartnell (scénario), Stephen Molnar (dessin) et John Rauch (couleur) aux éditions Graph Zeppelin

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Depuis la dissolution du groupe d'espionnes, Abbey Chase a repris son ancien travail. Elle recherche des reliques archéologiques que personne d'autre ne parvient à trouver.

C'est l'occasion de quelques flashback sur l'enfance et la jeunesse d'Abbey Chase.

Mais cette fois son passé la rattrape lorsqu'elle se fait arrêter par des agents de la CIA...



Un nouvel épisode toujours aussi plein d'action. L'occasion d'en connaître plus sur une des filles les plus importantes des danger girls.

Encore une fois les auteurs nous font voyager à travers le monde dans cet album.
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Pour ce troisième volume des Danger Girl, on s’éloigne un peu d’Abbey et de ses collègues. On retourne dans le passé, au moment de l’explosion de l’île Hammer, mais sous un autre angle. On fait ici la connaissance d’April Mayday, une sorte de pirate-trafiquante, qui est tombée sur un bateau ayant une cargaison pleine d’armes. La dangereuse jeune femme découvre alors l’organisation Hammer Reich, mais surtout le corps de Natalia Kassle. April Mayday voit là une opportunité d’obtenir une mine d’informations, elle fera en sorte de soigner la Russe et de l’utiliser dans ses magouilles.



Ce volume se concentre dans un premier temps sur le sauvetage de l’ancienne Danger Girl, ainsi que sa rééducation. Natalia a perdu la mémoire et une partie de ses compétences guerrières. Cependant, elle garde certains réflexes de son ancienne vie et se retrouve parfois perturbée à cause de flashes. Des sentiments multiples la font carburer et elle accepte sans rechigner de travailler avec April, mais, comme on s’en doute, son chemin va rapidement recroiser celui de celle qui l’a battue.



Ce nouveau tome est passionnant et on est heureux de retrouver la Russe impitoyable et glaçante. On l’avait adorée dans Opération Hammer, elle était sans pitié, mais avait parfois certaines expressions qui faisaient qu’on ne pouvait que l’apprécier. On la découvre plus vulnérable, amnérisue, elle ne sait pas qui elle est vraiment. Néanmoins, elle ne perd pas sa volonté de fer ni son intelligence de tacticienne.



Enfin, nous restons quand même dans un tome de Danger Girl, ainsi l’action est toujours à cent à l’heure et il y a des explosions en tout genre. Les différentes actions que l’on suit sont très dynamiques, colorées et pleines de personnages aussi sexy que dangereux.



Il est également agréable de voir que le dessinateur a de nouveau changé. Harvey Tolibao qui était là pour Tric-traque à Shanghaï laisse sa place à John Royle qui revient à un style un peu plus proche de celui de J. Scott Campbell. On retrouve les petits nez retroussés, les lèvres charnues et les tailles de guêpe avec grand plaisir. Ce sont certes des physiques avantageux et peu réalistes, mais ce style graphique va étrangement mieux à la série Danger Girl que le précédent.



Mayday est un volume qui relance l’histoire et l’aventure, peu à peu les différentes forces et pions se mettent en place. Les Danger Girls sont, en effet, loin d’être au bout de leur surprise. Et enfin, c’est un plaisir de voir que Natalia n’était pas morte et qu’elle revient en force sur ce plateau de jeu.
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L’unité spéciale des Danger Girls est de retour pour une mission tout en finesse… Ou pas. En tout cas, Abbey et Sydney ont été rejointes par la sœur de cette dernière, Sonya, pour compléter leur équipe après la perte de Natalia. Notre trio, sous le regard de Silicon Valerie et Deuce, a pour mission de récupérer une mallette. Son contenu est inconnu et le trio n’est pas le seul à être sur sa piste.



C’est pourquoi elles suivent dans la foule shanghaïenne une femme tatouée au visage sévère. Quelque chose de bestial se dégage de cette dernière et nos héroïnes vont vite découvrir sa brutalité. Et puis de toute façon, les dégâts collatéraux font forcément partie des missions des Danger Girls.



Cette nouvelle aventure, qu’on découvre assez rapidement être un volume de transition, plante un décor pour quelque chose d’encore plus grandiose. On met le doigt sur des secrets encore plus fous et une machination qui les dépasse (encore !), mais on l’accepte sans broncher et on lit avec rapidité ce tome.



Encore une fois, là où les Danger Girls passent, la ville trépasse, et c’est plaisant. On a des combats puissants, des explosions toujours plus folles et des femmes survoltées. Et à cela, s’ajoute un joli coup de crayon rendant les personnages très attractifs. Curieusement, le dessinateur a changé entre ce volume et l’Opération Hammer, mais on s’y fait assez rapidement. Le dessin est différent, mais il reste toujours très précis et surtout diablement efficace.



Danger Girl : Tric-traque à Shanghai est un volume transition mais il reste très plaisant et se lit très vite. Alors on a hâte de retrouver notre petit groupe dans la suite de ses aventures !
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Encore une aventure pour les filles de Danger Girl.

Cette fois Abbey revient d'une mission d'infiltration en ayant dérobé un disque dur. Malheureusement celui-ci est endommagé. Mais que contient t-il?

C'est alors qu'un nouvel ennemi fait son apparition, revendiquant des attentats. Et surtout, cet homme dit posséder la "Master Key", une clé de commande qui permettrait de contrôler la programmation de l'arsenal nucléaire.



Un nouvel opus du comics avec toujours autant d'action et de jolies filles.

C'est presque étonnant qu'Hollywood n'ait pas encore fait d’adaptation de Danger Girl au cinéma!



Par contre sur ce tome, j'ai moins apprécié le dessin de Nick Bradshaw (par rapport aux dessinateur des épisodes précédents). Même au niveau de la mise en couleur, je n'ai pas toujours trouvé ça bon.

Tir aux Pigeon est pour moi un peu en dessous des volumes précédents de la série. Mais la lecture de ce titre reste un bon divertissement.
Lien : https://www.7bd.fr/2019/12/d..

April Mayday est à la tête d'un groupe de mercenaires. Un jour, lors d'une mission, ils sortent une jeune femme blonde de l'eau. Cette dernière ayant perdu la mémoire, elle passera quelques années, dans un temple, au bouthan, où elle démontrera des capacités physiques exceptionnelles.

Mayday, lui révèle alors son identité. Elle se nomme Natalia Kassle, elle a été agent double pour un groupe terroriste et avait intégré l'agence d'espionnes Danger Girl avant d'être laissée pour morte par ses anciennes co-équipières qu'elle avait trahi.

La voilà maintenant embarquée dans une nouvelle aventure au sein de ce groupe de mercenaires... sans vraiment connaitre leur objectif.



Ce troisième opus de Danger Girl des éditions Graph Zeppelin est centré sur Natalia, une ancienne espionne de l'agence et traîtresse, tout aussi sexy que les autres Danger Girls. Dans cette histoire elle sera à la recherche de sa mémoire, de son identité et sera manipulée par April Mayday. Un scénario qui tient la route. Une aventure une fois de plus digne d'un film d'action qu'on pourrait regarder avec des pop-corns. Et un dessin de John Royle un peu anguleux, mais qui tient la route, à l'image du caractère des personnages finalement.
Lien : http://www.7bd.fr/2019/06/da..

Abbey - en place , Sydney - en reconnaissance, RAS , Sonya - en poste, prête à dégainer... Valérie: caméras opérationnelles, visuel sur la foule...

Les Danger Girls sont prêtes pour leur nouvelle mission: récupérer une mystérieuse valise dans les rues de Shangai, en pleine fête populaire.

Elles n'avaient pas prévu de croiser la route d'une femme ninja aussi dangereuse que tatouée. Une folle course poursuite s'engage alors...



Cette aventure "Tric-Traque à Shangai" (vous comprendrez le jeu de mot en lisant la BD) est le 2ème opus de la série sorti par les éditions Graph Zeppelin.

Les Danger Girls sont toujours aussi sexy. Ces agents secret hors-pair vont se retrouver une nouvelle fois prises dans une folle aventure digne d'un film d'action plein de rebondissements.

Le dessin de Harvey Tolibao est excellent et les couleurs de Romulo Fajardo sont plutôt pas mal aussi.

Un titre pour passer un bon moment.


Lien : http://www.7bd.fr/2019/05/da..

La couverture est très explicite, elle nous montre de l'action et des jolies filles [...]. Cette nouvelle aventure de Danger Girl atteint son but : du bon divertissement.


Lien : http://www.sceneario.com/bd_..

Chronique et extraits à découvrir dans le lien ci-dessous.



On n'en aura donc jamais Ash-ez ! Plaisir coupable et culte, Evil Dead a dépassé depuis longtemps le simple écran (qu'il soit d'ailleurs grand ou petit) pour s'offrir une confortable place dans la culture populaire baignée de frissons et d'horreur aussi malsaine que jubilatoire. Trois épisodes mémorables et puis s'en va ? Oui et non car la magie (ou la sorcellerie ?) a continué de plus belles dans nos souvenirs cinéphiles, en série mais aussi en une pléthore de comics jusqu'ici réservés aux lecteurs anglophones et anglophiles. Les Éditions Réflexions ont tiré la couverture à nous avec un premier opus qui, on l'espère, en appellera d'autres. Car elles ont vachement bien fait de réveiller le Necronomicon et les deadites qui vont avec.



Résumé de l'ėditeur: Ash est bien revenu sur terre, mais il arrivé trop tôt, bien avant qu’il ne découvre avec Linda, l’existence du Necronomicon. Il va donc devoir se rendre dans cette fameuse cabane dans les bois avant qu’il ne soit trop tard. Lorsque les démons ancestraux se réveillent, priez pour qu'Ash soit là pour vous protéger... s'il parvient à en être compétent ! Quoi qu'il en soit, le résultat sera saignant !



Alors qu'on attend toujours un hypothétique quatrième épisode, qu'un remake a secoué le cocotier de l'horreur et qu'une série trop tôt annulée a joué les parenthèses sanglantes et bien tronçonnées, la folie Evil Dead n'a pas fini de faire des siennes. Et si Sam Raimi ne semble pas encore prêt à donner une suite à son sensationnel Army of Darkness, Ash a placé son sort entre les mains d'Andy Hartnell, Nick Bradshaw, Étienne Saint Laurent et Jim Charalampidis pour de nouvelles aventures en comics mais monstrueuses quand même.



Et c'est vrai que l'univers sorti de l'esprit aussi dérangé que génial de Sam Raimi a tout pour tisser sa toile et faire ses jeunes dans les planches propices du neuvième Art. Pour foisonner. Déjà, parce que le personnage principal de cette trilogie du tonnerre, Ash, est interprété par un Bruce Campbell qui a tout d'un p'tit miquet, dans ses attitudes, ses expressions et cette mâchoire carrée du héros... un peu à côté de ses pompes, mine de rien. Et c'est ce qui fait son charme irrésistible face à des armées de squelettes et des fantômes on ne peut plus malveillants.



Avec Ashes 2 Ashes, Andy Hartnell et Nick Bradshaw auraient pu être possédés par la montagne à laquelle ils s'attaquaient et se casser les dents et les os, se faire arracher un bras. Pourtant, ils dominent leur sujet en proposant une suite en bonne et due forme (et difformité: les affreux de son retour en grande... forme) mais aussi une sorte de reboot qui revient à l'origine et aux racines du mal. Une oeuvre de liaison donc qui ne va pas franchement laisser à Ash le temps de se remettre du décalage horaire... que dis-je... séculaire. Il vient à peine de revenir de l'an 1300 où il aurait pu être roi à la place du roi (refrain connu en BD) mais notre héros mythique a préféré regagner ses pénates et son époque. Sauf que...



... on ne change pas une équipe qui gagne et Ash a bafouillé la formule magique qui lui permettrait d'arriver en temps et en heure de là où il était parti avant toute cette odyssée moyenâgeuse. Non pas qu'il soit en retard, non, non, mais qu'il soit en avance. Résultat : le moine (joué par Ian Abercrombie dans le film) a suivi Ash dans les méandres du temps pour former un duo improbable et pétaradant dans une course folle contre le temps.



Car oui, Ash est revenu quelques instants avant le drame qui allait changer sa vie à jamais, avant qu'il ne s'aventure avec sa chérie dans cette forêt où il mettrait la main (ou les deux, puisqu'il n'avait pas encore tranché) sur le Necronomicon. C'est le rêve de beaucoup d'humain de revenir avant le moment où tout a basculé, non ? What if... Mais l'euphorie est de courte durée et si le temps est désormais troublé et Ash est confronté à un... autre lui.



Forcément, on pense aux voyages dans le temps de Retour vers le futur mais également Les visiteurs, mais c'est de l'ADN à 200% Evil Dead qu'on retrouve dans cette aventure ébouriffante. À partir du moment où ce tandem mal assorti pour le rire, le pire et l'horreur se rend compte de la situation, c'est un sprint d'une nonantaine de planches qui commence, sans temps mort, mue par l'énergie du désespoir et du grand n'importe quoi tellement salvateur. Nick Bradshaw est complètement dans son élément démonté, il se bat comme un bougre pour faire péter les cases et insuffler de l'esprit à cette histoire démente (on fait même un tour dans l'espace !) et qu'on croirait animée. D'ailleurs, on doit parfois freiner des quatre fers pour profiter à fond du spectacle dantesque et impitoyable. On regrette juste que les pages au format comics soient parfois trop petites que pour conférer la pleine mesure de ce show qui nous a saisis dès la première minute de son fulguropoing d'acier (hé ouais, Ash n'a rien à envier à Goldorak !). Quant aux couleurs, le tandem St. Laurent-Charalampidis n'a pas chômé puisque, si l'horreur règne en maître, de la pluie à l'obscurité éclairée par des bouts de chandelles en passant, de la jungle au désert ardent et rouge sang, le travail des ambiances est à la hauteur des ambitions de cette nouvelle réincarnation de l'univers de Raimi, sur papier cette fois. Si on n'a pas mis la main sur le Necronomicon - et heureusement, soupireront certains ! -, c'est un petit graal auquel on a accédé.
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Glénat continue la publication des aventures du trio de choc et de charme. Dans quelle péripétie se sont fourrées nos drôles de dames ?


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Un pavé très inégal qui ne fait pas vraiment oublier que, sans Campbell au dessin, la série n’est pas tout à fait la même.
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