"Je me recroqueville dans ma souffrance. Je me fane de douleur. Alors je pleure. Malgré moi. Abondamment. Comme j'ai rarement pleuré. Comme si toutes les larmes qui s'étaient amassées en moi lors des nettoyages des sinus ou de "l'arrachage" des tétons se déversaient enfin. C'est la seule façon d'exprimer ma douleur" p103