Je ne leur en veux jamais de rire devant les portes de ceux qui souffrent. Au contraire, je les en remercie. Leur énergie représente la vie, et la vie, il n'y en a jamais de trop dans un service comme celui-ci. Chaque rire qui fusedans ces couloirs dépersonnalisés est un pied de nez adressé au malheur. (111)