l n’y a que lorsque j’observe le lac que je suis vraiment bien. Je ne pense plus à rien. Je ne cherche à enregistrer aucune information. Je ne me demande pas si je l’ai déjà vu ou pas, si j’ai bien fait de plonger dans cette vie sans transition… Il absorbe mes remous intérieurs comme s’il les comprenait… Les jours se succèdent, et il me semble que rien ne se simplifie… Et à certaines heures, quand je sens le désespoir me saisir, je descends m’asseoir au bord.