Un jour, elle m’a dit : « J’ai aimé des cons, des pauvres types, des gentils garçons, des salauds. J’ai aimé leur faire tourner la tête et ils ont aimé me faire souffrir, me surprendre, me bousculer, me bercer d’illusions. Mais toi, oui toi ! Tu es le con que j’ai intensément, passionnément, farouchement envie d’aimer. »