Lou est une belle arnaque. Ses baisers ont le goût du bonheur. Je pourrais passer des heures à dévorer ses petits seins, à la couvrir de caresses, à contempler son sourire. Même si elle est complètement déglinguée, je ne peux pas me passer d’elle. J’en redemande encore et encore. Elle arrive à me rendre euphorique, malheureux, vivant, misérable
Un jour, elle m’a dit : « J’ai aimé des cons, des pauvres types, des gentils garçons, des salauds. J’ai aimé leur faire tourner la tête et ils ont aimé me faire souffrir, me surprendre, me bousculer, me bercer d’illusions. Mais toi, oui toi ! Tu es le con que j’ai intensément, passionnément, farouchement envie d’aimer. »
"Tu es le seul détenteur de la clé qui mène jusqu'à ton propre bonheur, mais tu refuses de l'utiliser. Tu as cadenassé ton cœur, croyant à tort que cela te blinderait de tous les malheurs qui s'abattent ou qui se sont abattus sur toi. Je sais pertinemment que tu es conscient que tu ne peux pas continuer à vivre ainsi."
Un jour elle m'a dit : " J'ai aimé des cons, des pauvres types, des gentils garçons, des salauds. J'ai aimé leur faire tourner la tête et ils ont aimé me faire souffrir, me surprendre, me bousculer, me bercer d'illusions. Mais toi. Oui toi! Tu es le con que j'ai intensément, passionnément, farouchement envie d'aimer."
Il y a des jours où j’ai envie de tout arrêter, de lui dire non, mais mon corps et mon cœur continuent à lui dire oui. Elle est ma drogue. Je n’arrive pas à décrocher. C’est plus fort que moi. Elle me donne cette douce impression que sans elle, je pourrais m’étioler.
Je me demande ce qu'elle fait, où elle est et qui elle aime.