Un cri à fendre l’âme résonne dans toute la pièce. Je me retourne sur ma mère, agenouillée sur le carrelage, le visage noyé dans les larmes. À ce moment précis, mon cerveau et mon cœur disjonctent. Littéralement. Mes émotions sont anesthésiées, je n’en perçois aucune. Pas un seul, rien, nada.