Du reste, j'allais plus tard remarquer que, à Delhi, on stigmatisait bien moins les femmes qui s'amusaient que dans la diaspora indienne de Londres ou de New York, où des normes beaucoup plus strictes régissent le comportement des femmes, du fait, peut-être, de cette volonté caractéristique de l'immigrant d'atteindre des performances exceptionnelles et de témoigner de sa culture immémorielle, même après des dizaines d'années passées à l'étranger.