Marie est comme ces félins trop racés qu'on voudrait capturés, et si quelque chose brise le coeur de Marie, ce n'est rien d'autre que sa beauté trop stupéfiante; cet éclat trop violent et bien trop désinvolte, cette animalité trop enivrante qui effraie autant qu'elle aimante, et cette curieuse fêlure qu'on perçoit sans comprendre quand on ne la connaît pas, car quoi qu'elle fasse, Marie est toujours seule.