Une troupe de gazelles couraient ça et là et vinrent familièrement à notre rencontre, dès que nous fûmes entrés. Il y en avait de plusieurs sortes, les unes plus brunes que les autres, répondant, je crois, à ce qu'en Algérie, on appelle la gazelle des bois et la gazelle des plaines. Il y avait aussi deux bouquetins, avec des têtes énormes, apprivoisés comme les gazelles et habitués à être caressés.