Mon cerveau tourne à mille à l’heure et mes doigts suivent ses instructions sans se plaindre. Je savoure ce moment, c’est l’adrénaline dont ma tête a besoin pour se mettre sur pause. Ça me renvoie à mes années collège et lycée, quand mes parents apprenaient mes bêtises et méfaits. La majorité de mes professeurs en était arrivée à la conclusion que j’étais un enfant exceptionnel, mais que j’avais un gros problème : mon penchant naturel pour le mal.