« Aux enterrements, nous pleurons sur nous-mêmes, notre chagrin, notre perte, notre douleur, et cela ne passe pas au bout d’une semaine, d’un mois ni même d’un an. Le problème, c’est qu’après un certain temps il devient inacceptable de se montrer égoïste, et donc inacceptable de s’abandonner au chagrin. »