[...] mistress Bloomfield revint de nouveau sur les dispositions et les qualités de ses enfants, sur ce qu’il faudrait leur faire apprendre, comment il fallait les gouverner, et m’engagea à ne parler de leurs défauts qu’à elle seule. Ma mère m’avait avertie déjà de les lui mentionner le moins possible, car les mères n’aiment point à entendre parler des défauts de leurs enfants [...]