Nationalité : France
Biographie :
Directrice du Festival mondial des théâtres de marionnettes de Charleville-Mézières, Anne-Françoise Cabanis a 50 ans. Elle est titulaire d'une licence et d'une maîtrise d'études théâtrales de l'université de Paris III. Elle a ensuite poursuivi avec la formation de l'Association Technique de l'Action Culturelle qui était à l'époque, à la fin des années 70, la seule pour ce que l'on appelle aujourd'hui la médiation culturelle.
« J'ai fait aussi pas mal de théâtre amateur en banlieue », ajoute cette Parisienne aux origines cévenoles. Son premier poste fut chargée de production sur les actions culturelles et la programmation jeunesse de la scène nationale de Marne- la-Vallée, pendant une douzaine d'années.
Il y a huit ans, Anne-Françoise Cabanis a commencé à travail- ler avec Grégoire Calliès, un marionnettiste nommé directeur du Centre dramatique national et du festival Giboulées de Strasbourg ; à l'origine une biennale alsacienne de la marionnette devenue festival annuel depuis six ans.
+ Voir plusDirectrice du Festival mondial des théâtres de marionnettes de Charleville-Mézières, Anne-Françoise Cabanis a 50 ans. Elle est titulaire d'une licence et d'une maîtrise d'études théâtrales de l'université de Paris III. Elle a ensuite poursuivi avec la formation de l'Association Technique de l'Action Culturelle qui était à l'époque, à la fin des années 70, la seule pour ce que l'on appelle aujourd'hui la médiation culturelle.
« J'ai fait aussi pas mal de théâtre amateur en banlieue », ajoute cette Parisienne aux origines cévenoles. Son premier poste fut chargée de production sur les actions culturelles et la programmation jeunesse de la scène nationale de Marne- la-Vallée, pendant une douzaine d'années.
Il y a huit ans, Anne-Françoise Cabanis a commencé à travail- ler avec Grégoire Calliès, un marionnettiste nommé directeur du Centre dramatique national et du festival Giboulées de Strasbourg ; à l'origine une biennale alsacienne de la marionnette devenue festival annuel depuis six ans.
Source : http://www.lunion.presse.fr
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Citations et extraits (1)
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L'utilisation des petits noms renseigne largement sur la relation que j'essaie de tisser avec mon enfant. En le nommant par des expressions culturellement affectueuses, je lui montre mon attachement mais je le situe aussi exclusivement dans une relation d'objet vis-à-vis de moi. Avec "boubou" je suis fusionnel. Un "boubou" n'a pas d'âge, pas d'existence propre. Il vit dans l'immédiateté, dans une relation indéfinie. Tout autre est la démarche qui consiste à nommer l'enfant par son prénom.
Parler enfant, est-ce retomber en enfance? Dans le langage mère à enfant, je constate un langage modifié inconsciemment mais intentionnellement avec des emprunts au langage même des enfants.
Parler enfant, est-ce retomber en enfance? Dans le langage mère à enfant, je constate un langage modifié inconsciemment mais intentionnellement avec des emprunts au langage même des enfants.
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