Le travail, sans le courant divin qui le vivifie, ne compte pas. L'œuvre, sans la Grâce sanctifiante, n'est rien. C'est une enveloppé vide, du vent, du néant. Et cette grâce ne peut être accordée qu'à ceux qui reconnaissent Dieu comme Maître de toutes leurs actions, qui obéissent à ses lois et qui lui offrent, par la prière et chaque jour de leur vie, les fruits de leurs travaux.