Cette maison, je ne l’ai pas choisie. C’est un héritage de ma mère. Rien de plus oppressant qu’un héritage lorsqu’on essaie de voler de ses propres ailes : pire qu’une corde pour se pendre. J’ai cru devoir entretenir la mémoire de la lignée en venant m’enterrer ici, au détriment de ma vie. C’est fini. Bon courage aux Anglais qui vont prendre ma place. À présent, il me reste à décider vers quels cieux j’ai envie de m’envoler.