Pierre-Marie Sotto : Lorsque je lis un roman, je déteste qu'aux deux tiers l'auteur commence à démêler le pourquoi du comment. Ça me donne l'impression que la récréation est finie, ou le voyage, qu'il a frappé dans ses mains et qu'il commence à nous expliquer au tableau noir les jeux auxquels nous avons joué et les paysages que nous avons vus. Et il en défait le charme.