Lili, c’était l’entreprenante Taïwanaise rencontrée square du Temple. Prétextant vouloir m’inculquer les secrets du tai-chi-chuan, elle m’entraîna chez elle rue Bichat pour m’apprendre à « me brosser le genou », à « déployer mes ailes telle la grue blanche » et à jouer du pipa ». C’est quand elle m’enseigna l’art de « caresser la crinière du cheval » que tout dérapa.