[...] Ainsi se développe à la fin du XVIIIe siècle un type d'estampes particulier, le kacho-ga, ce qui signifie littéralement "images de fleurs et d'oiseaux". Le florilège que présente ce recueil s'inscrit donc dans un genre bien répertorié où se sont illustrés les plus grands noms de l'ukiyo-e, tels Utamaro, Hokusai, Hiroshige - qui fut en ce domaine particulièrement fécond -, ainsi que d'autres artistes moins connus de ce mouvement.