Sous l’oeil coquin de Juda derrière le bar, tout feu tout flamme. Ne pas oublier ces folies entre gens de l’humanitaire. On ne se reverra sans doute pas. On n’échange pas nos femmes, on n’échange pas nos maris, mais on goûte aux mêmes cocktails et il arrive que l’on frôle les bras nus des uns et des autres. Qu’on s’assoie «par mégarde» sur les genoux d’un autre.