Il faudrait à présent - et cette seule pensée m'arrache le coeur - qu'ils deviennent de "vrais morts qu'on n'APPELLE plus". Ils m'ont quittée, il faudrait maintenant que je les laisse partir de moi, décider que cette manière de vivre avec deux morts en filigrane entre moi et toute chose a fait son temps.
Il faudrait arrêter de se battre, faire la paix. Grandir.
Et je ne peux pas. Je ne veux pas...