Dans ce paysage à l’atmosphère délétère, un petit personnage était aussi en perdition, un voyageur qui marchait en s’aidant d’une canne, au clair de lune. Il savait que le voyageur errait depuis longtemps dans des contrées de plus en plus désertes, parmi des arbres tourmentés et des ruines stylisées, effrayé par les vents et les loups, et peut-être n’y avait-il personne d’autre qui voyageât ainsi dans la nuit et qui fût si seul (p. 230).