Mais la petite a bien cerné le problème : pour 200 euros à tout péter, elle a bradé son cul, sa chatte, son honneur, son identité, son avenir, ses rêves, ses espoirs, son âme, à un connard qui diffusera les images pendant des siècles à venir sans lui reverser un centime de plus. Et l'amnésie collective n'existe pas sur internet : une fois en ligne, c'est fini.