Je ne saurais terminer cet article sans citer un propos de Napoléon. Je lui ai entendu dire que, dans ses premières campagnes, l'armée ennemi était toujours si bien pourvue, que, lorsqu'il se trouvait embarrassé de nourrir la sienne, il n'avait qu'à la jeter sur les derrières de l'ennemi, où il était certain de trouver tout en abondance.