La maladie traduit un retour à l'ordre biologique élémentaire et elle représente un retour sauvage et incontrôlé à un état infantile dont l'homme bénéficiait auparavant. La sexualité est soumise aux impératifs d'éducation, tandis que l'ordre du corps (s'exprimant entre autres par la maladie) reste l'une des dernières possibilités que l'être humain a de créer quelque chose de tout à fait libre. La maladie n'est plus vue sous un angle déficitaire, mais comme une création positive du ça.