L’arme blanche sur laquelle on referme sa main, son bras droit que l’on tend dans les airs avant de l’abaisser. Les coups qu’on lui intime d’asséner à la poupée de guenilles. Lors des dernières séances de reconstitution, la présumée meurtrière connaît si bien le scénario qu’elle se lance toute seule dans l’arène : elle entre dans la chambre, s’immobilise à la tête du lit et frappe à la gorge. Trois coups suffisent pour percer la carotide.