Là commence l’histoire de ceux qui ont vu le cerf, qui ont considéré le rouge de très près
ont désiré s’en teindre les cheveux, la peau, l’intérieur de la bouche,
y ont puisé de la force,
et s’en sont fait une maladie pour tenir,
une maladie comme un feu qui détruit et réchauffe.
Leur histoire, celle de tant d’entre nous :
fugitifs qui se cachent,
qui cherchent comment tracer une route
– pour sortir de la forêt.
Femmes ermites, enfants indiens,
foules tristes ou folles.