En automne, il y a une odeur de lune. L'air est un thé très infusé, au lotus, le buvant, on s'éparpille dans une exaltation sirupeuse, un peu fade, presque écoeurante, qui fait que l'on chérit les lexiques, les dictionnaires et les catalogues, comme si l'on souhaitait se perdre dans les mots. (p.11)