Un
homme seul… en fait, je sais tellement peu de choses, que je me dis que le
scénario ne doit être qu’un prétexte de mise en scène. Car il paraît que ce
film te touche au plus profond de toi-même. Il y a un sentiment de malaise qui
te comprime… Je ne sais plus où j’ai lu ça, mais je me rappelle d’une
phrase : « une serre rappeuse qui s’insinue jusqu’à votre cœur,
le caresse, puis le broie, lentement. »