J'avais étudié une anecdote du Monde de pierre, de Tadeusz Borowski, qui se passait précisément dans ce camp, avec une situation très similaire. Le protagoniste parlant à sa compagne de ses cheveux. Et Vladek m'avait dit qu'Anja était malheureuse à cause de son allure dans les camps; elle avait honte. Mais cette anecdote - parler à un être aimé, de loin, et découvrir qu'elle a honte - permettait au personnage de la fiction autobiographique de Borowski de dire: "Ne t'en fais pas, tu auras des cheveux et nos enfants auront des cheveux"