Nulle part dans l'espace ou dans mille mondes, il n'y aura d'hommes pour partager notre solitude. Il peut y avoir de la sagesse, il peut y avoir de la puissance ; quelque part à travers l'espace, de grands instruments... peuvent regarder vainement souffrir notre nuage flottant, leurs possesseurs tendus comme nous le sommes. Néanmoins, dans la nature de la vie et les principes de l'évolution, nous avons reçu notre réponse. D'hommes ailleurs, et au-delà, il n'y en aura aucun, éternellement...
Loren Eiseley, The Immense Journey - 1957