L'été de 1838 est pris par les répétitions de Benoenuto. Tout ce qui, à Paris, s'occupe du mouvement musical, a conscience qu'on est à la veille d'une lutte décisive. En août, paraît un pamphlet, signé de Joseph Mainzer, livre odieux et perfide, tandis qu'aux Débats Frédéric Soulié fait un panégyrique ardent de Berlioz, qu'il place sans hésitera côté des plus grands maîtres. On riposte : la bataille commence avant le lever du rideau.