Mais, la richesse proprement dite, c’est-à-dire un grand superflu, contribue peu à notre bonheur : aussi beaucoup de riches se sentent-ils malheureux, parce qu’ils sont dépourvus de culture réelle de l’esprit, de connaissances et, par suite, de tout intérêt objectif qui pourrait les rendre aptes à une occupation intellectuelle.