La continuité, le développement des phénomènes nous obligent à reconnaître qu'il existe des lois. Ce n'est guère la peine de discuter les systèmes qui refusent toute entité réelle aux rapports que nous saisissons entre les objets, ou aux termes mêmes entre lesquels nous établissons ces rapports et qui n'y voient que l'œuvre subjective de la pensée humaine.