Je dis toujours que je n’arrive pas à écrire des romans sans animaux. Quoi que je fasse, ils s’imposent. Les animaux sont un trait d’union vers la nature, vers notre part animale refoulée. C’est l’irruption du sauvage dans l’univers bien organisé de l’homme moderne. C’est la connexion au présent, à l’ici et maintenant. L’amour, l’énergie, la lumière, la vitalité…