Saint-Exupéry, qui ne se battait pas contre les concurrents d'une compétition, mais contre les éléments naturels et les ennuis méchaniques, contre les tribus maures et bientôt contre les pilotes allemands, disait que le grand Mermoz, en passant les Andes au péril de sa vie, pour transporter des lettres de marchands, et peut-être des lettres d'amour, faisait simplement naître l'homme en lui.
( Citation de Catherine Maunoury, championne du monde de voltige aérienne, p. 210-211).