Pour lui, l’important, c’était la vérité du terrain. Il n’était pas devenu journaliste pour se planquer dans un hôtel et attendre les conférences de presse de tel ou tel commandant de l’armée. Il préférait se fondre parmi les autochtones, loger chez l’habitant, utiliser un réseau de contacts dans lequel il avait confiance. Il agissait ainsi partout où il allait faire des reportages.