Il n'y a pas de vie biologique, économique et sociale sans sources d'énergies suffisamment abondantes, à prix abordable, à impact maîtrisé sur l'environnement et la santé publique. (...) L'enjeu est aujourd'hui de savoir comment utiliser les énergies renouvelables et les énergies nucléaires (...), formes d'énergies pratiquement inépuisables à l'échelle de l'histoire des hommes et à faible impact dans le cadre d'un fonctionnement normal.
La nature nous fait du bien au corps et à la tête.
Cela s’exprime, pour certains, par le plaisir de la voir évoluer au gré des saisons : regarder les arbres qui perdent leurs feuilles en automne et retrouvent des bourgeons au printemps, observer les migrations des oiseaux... il est aussi prouvé que contact avec les animaux de compagnie détend et diminue le stress. Protéger la nature, c’est favoriser le bien-être humain.
Les essais nucléaires français débutent dans le désert algérien le 13 février 1960, avec l’explosion de la bombe atomique Gerboise Bleue. Après 17 tests réalisés au Sahara, ce sont les atolls de Mururoa et de Fangataufa, en Polynésie française, qui servent de terrains d’essais. De 1966 à la fin des essais en 1998, 193 explosions nucléaires sont réalisées par la France dans le Pacifique.
Malgré le traité, on estime à 50 000 le nombre d’armes nucléaires connues dans le monde en 1982, totalisant entre 12 000 et 14 000 mégatonnes, soit la puissance de 2 millions de bombes d’Hiroshima. Ce qui, à l’époque (on compte alors 4 milliards d’humains sur Terre), représente une bombe atomique équivalente à Little Boy pour 70 personnes.
En Inde, le gouvernement préfère donner la priorité au développement économique malgré la dégradation du Gange. Ce fleuve sacré reçoit de nombreux polluants issus de l’industrie et du secteur agricole, ainsi que les eaux usées des villes (400 millions de litres chaque jour pour la seule ville de Kanpur), alors que les pèlerins viennent boire son eau, s’y baignent et s’y lavent.