Dois-je préciser qu'il m'est difficile, voire impossible, de prêter un seul de ces ouvrages, qu'il soit bon ou mauvais, que j'ai ou pas l'intention de le relire un jour ? J'ai trop peur de ne pas les voir revenir près de moi, et de perdre un morceau de la colonne vertébrale qui me fait tenir debout.
– Suzette Robichon –