Mais il fallait qu’il la regarde à cause de sa beauté, qui n’était pas seulement la beauté d’un corps mais aussi celle de son esprit. Cela se voyait à la douceur discrète avec laquelle elle se mouvait, de toute évidence elle ne se rendait pas compte de l’effet qu’elle produisait sur les garçons, ou elle s’en fichait, et elle n’en faisait pas étalage, parce qu’elle savait qu’elle possédait des atouts encore plus grands dans son esprit.