Philippe n'aimait personne, disait-on, pas même ses propres enfants. Il n'avait ni cœur ni passions ; chacun de ses sentiments était réservé au gouvernement de la France, un devoir qu'il interprétait la plupart du temps, dans le domaine militaire. C'était pour cela qu'on le surnommait "le Roi de marbre et de fer".