Et voilà. Le pire, c'est que tout le monde tourne en rond en paraissant accepter plus ou moins son sort lamentable. Douglas est une exception. Il passe beaucoup de temps à sauter d'un arbre, mais il se décourage quand rien ne se produit, à part une entorse de temps en temps. Personne ne se lance à la poursuite du bonheur, avec ou sans entorse. J'ai l'impression que pour nous tous, le bonheur n'est même pas un point minuscule à l'horizon. Il a émigré sous d'autres climats et n'a pas laissé d'adresse. Il est peut-être en Amérique...
Il faut que ça change.