Ensuite, il se mit à courir comme un fou dans la rue. Ses Lombartini volèrent au-dessus des flaques. De temps en temps, elles retombaient dans l'eau, mais en ce moment de crise, Erik Vogler ne se souciait pas de la propreté de ses chaussures italiennes. Seules deux choses lui importaient : atteindre sain et sauf la maison de sa grand-mère et retourner à Brême aussi vite que possible.