Il était difficile d’accéder à la porte d’entrée, le chemin n’existait plus, envahi par les ronces, les genêts qui avaient pris possession des lieux. J’ai fini par discerner dans ce chaos de végétation une sente à peine perceptible, tracée par des animaux et j’ai pu grimper sur le perron par un simulacre d’escalier. Je me suis retournée, j’ai vu les montagnes et j’en ai eu le souffle coupé à nouveau. C’est toi qui m’as dit ça Jacques ; depuis cette porte, on prend les Cévennes en plein cœur.